Maison des Eärfalas

Leur maison est une maison sur pilotis assez simple, faite de planches de bois, de troncs fins, de copaux de bois et de paille.
Bref, c'est une cabane de bois sur pilotis placée sur la plage au ras d'un début de petit bois.

Rien de bien extraordinaire donc, mais malgré ses apparences de cabanette abandonnée, ses occupants se font une joie d'y vivre. Elle n'aura jamais bien sûr, le luxe des grandes et spacieuses maisons bourgeoises, mais ce n'est pas non plus une ruine sans nom, délabrée et inhabitable.

L'intérieur n'est pas très spacieux et nécessite de bougies pour pouvoir y voir clair la nuit tombante. Elle se compose uniquement de deux parties séparées par un "rideau" (lui-même composé de tissus assemblés entre eux). L'une servant de cuisine, salon, garde-manger, et l'autre servant de chambre. Il y a néanmoins une sorte de petit cagibi doté d'un trou et d'un bac servant de toilettes, situé au dans la partie chambre.

Le toit, qui n'a pourtant pas l'air de faire partie des meilleurs, n'a jamais fuit dans la partie chambre lors des pluies, mais uniquement en plein milieu de l'autre partie, pour cause d'une ouverture crée un soir de tempête un peu trop forte.

Les murs ne peuvent être isolée à la perfection, mais ils résistent grâce aux nombreuses fleurs de coton glissées en leur intérieur. Ils sont constitués de planches, argile, et autres éléments plus ou moins solides.

[hrp: désolée, mais je sais, je n'ai pas posté depuis presque un mois, même que Calypso a dû me persécuter pour qu'enfin, je me décide à poster "==. et en plus, il est tout court ce message ><]

*Une odeur de sel, une caresse...non, juste le vent, qui apporte l'odeur de la mer. La mer? Mais alors...*

Arlya ouvrit doucement un œil, puis l'autre, et put voir un plafond de bois,
légèrement éclairé par une source de lumière provenant de derrière elle.
La jeune femme se redressa, et regarda autour d'elle.
Elle se remémora donc, à la vue du lieu ou elle se trouvait,
qu'elle était venue passer quelques jours chez ses parents.

Elle se leva tranquillement, presque lentement,
et poussa le rideau qui tenait lieu de mur.
Son père était déjà partit travailler, et sa mère n'était pas présente.
Elle promena son regard à travers la petite pièce et aperçut,
sur la table basse faite d'un rondin et de troncs fins,
un plat ou étaient posés divers fruits, et un verre d'eau.

A près avoir pris son frais petit déjeuner, elle sortit sur la plage,
afin de profiter de la légère brise qui l'avait si doucement éveillée.