Chez les Tasartir

La famille Tasartir posséde sa maison sur les hauteurs de la ville tout prés du palais de la reine Jade. Légérement en retrait de la place centrale du quartier riche, la maison surprend tout d'abord par sa taille qui n'est pas trés grande par rapport aux autres manoirs.

Cette derniére est entourée par une haute cloture en pierre finement taillé et des arbustes taillés à la perfection. Le portail d'entrée est en fer noir avec sur chacune des deux portes, les écussons de la famille Tasartir. Aux deux extrémités de la propriétée, on peut remarquer deux sauls pleureurs. Quand à la boite aux lettres en bois, elle se trouve sur le côté du portail.

Une fois que l'on franchit le portail, une allée en marbre blanc nous amène à la pore d'entrée. De part et d'autre de l'allée, il y a deux bassins avec au centre de chacun deux une statue représentant pour l'une le Bereno et pour l'autre le Berena, les deux navirs des Tasartir. Les deux bassins possédent chacun deux bancs entourés d'arbustes et de plantes. Un peu plus loin il y a la cabane à outil pour le jardinier.

La maison est en pierre grise et la porte d'entrée, quand à elle est en bois. C'est une porte double où les poignées sont incrustées de pierres de lune. Les volets en bois eux ausssi, sont carractérisés par la rigeur du travail du bois.

L'interieur confirme l'aisance financière des Tasartir. En effet le hall d'entrée est assez grand et peut contenir cinquantes personnes. La richesse de la décoration est remarquable mais le plus surprennant est l'escalier en marbre qui, à vue d'oeil, à demandé un travail énorme.

La demeure compte en tout et pour tout douze pieces. Il y le hall d'entrée, la salle à manger se trouvant à gauche qui quand à elle posséde une grande table pour acceuillir tous les convives et une petite scène pour que des artistes puissent divertir les invités. Elle possède également quatres cheminées.

La cuisine, au bout de la salle à manger, n'est réservé qu'à la cuisinière. Beren n'y a jamais mis les pieds. La salle de bal qui elle se trouve sur la droite, est spacieuse et carractérisée par les grandes baies vitrées et le balcon qui donne sur la mer.

Les deux chambres du personel sont au fond de la salle de bal, ainsi que leur salle de bain. A l'étage, il y a sur la droite au bout du corridor, la chambre des defunts parents de Beren. La salle de bain étant associée à la chambre, il est trés facile de se repérer.

A l'autre bout du corridor il y a la chambre de Berren. C'est une chambre assez petite, bleue mais qui ne comprend sur ses murs que des miroirs et des armoirs de vétements. La salle de bain est aussi associée à la chambre. Cette derniére, composée entiérement de marbre, posséde juste un bain et un lavabo mais pleins de miroirs. Le débaras lui se situe au sous sol mais il va de soit que Beren n'y a jamais mis les pieds.

Pour finir, la décoration des piéces est poussée et recherchée. De magnifique tableaux sont accrochés aux murs et de somptueuses statues aceuillentles visiteurs devant chaque pieces.

Tout en remontant la belle avenue, la calèche se dirrigea un peu plus à droite pour faire face aux murs de la somptueuse maison des Tasartir. La calèche s'engagea dans l'allée et se stoppa devant la porte d'entrée. Beren descendit de la calèche suivi de son major d'homme et se dirigea vers le hall d'entrée. Le major d'homme s'inclina devant Beren lui rapellant que son cours d'astronomie aurait lieu vers 11 heures et qu'il serait dans le salon si Beren avait besoin de lui. Beren hocha de la tête puis se dirigea vers la salle à manger où son petit déjeuner était servi. Il s'installa à sa place et regarda sur la table basse.

"Et ben il faut croire que les demandes affluent, avec tout ce courrier il y a de fortes chances que j'y passe deux jours non stop dessus. Quand est-ce que je vais m'y mettre... Bah j'ai le temps pour je verrai ca une autre fois"

C'est alors qu'il vit apparaitre la cuisinière qui avait l'air inquiéte.

"- Enfin vous voila monsieur, nous nous sommes fait une de ces peurs en ne vous voyant pas ce matin.

- Oh je suis désolé de vous avoir fait peur je suis juste allé me balader, prendre l'air.

- Certe monsieur je comprend, alors quesce que je vous sert ce matin ?

- Je n'ai pas trés faim donc je ne prendrai qu'un thé et un croissant que je mangerai en haut, le reste je ne pourrai le manger."

En effet la table était généreusement garnie avec nombre de fruits, de viennoiseries et autres gateaux. La cuisiniére prit en compte le choix du jeune homme et alla demander l'aide de la servante pour le servir.

En regardant vers la fenètre la plus proche de lui, il remarqua un parchemin.

"- Oh ce dot être la liste que j'ai demandé ?

- En effet monsieur, cétait le mojor d'homme qui venait d'apparaitre.Je l'ai faite verrifier par toutes les ambassades, selon votre désir.

- Bien c'est parfait je vais l'examiner ce matin même dans ma chambre. J'éspére vraiment que la personne que je cherche est dedans, il me la faut absolument."

Beren avala son thé en deux minutes pris son croissant et monta les escalier quatres à quatres pour arriver dans sa chambre pour se préparer pour son cours.


hrpg: fin de ma matinée.

Le dernier cours d'astronomie étant términé, Beren décida d'inviter son professeur pour le repas. Ce dernier ravi, accepta et tous deux descendirent dans le salon pour s'installer à table. En voyant la pile de courrier sur la table basse, le profeseur Wiltch, qui enseignait aussi la gestion, ne put sempécher de rappeler au jeune homme l'importance de ne pas reporter trop de choses au lendemain sous peine de se retrouver submergé par le travail.

"- Ne vous inquiétez pas Monsieur Wiltch, je trirai le courrier dans la soirée, dés que je serai passé à la fabrique.

-Bien je vous fais confiance Monsieur Tasartir.

-Oui, vous n'avez pas à vous en faire. Au fait êtes-vous au courrant du ralentissment de la venue des marchands dans le port ?

-Ah non mais pourquoi dites-vous cela ?

-C'est ce matin j'étais sur la place de la ville et j'ai vu le port de loin mais il était vide. Ce n'est quand même pas la tempète qui les a ralentis ?"

C'est alors que la discussion partit sur des problèmes économiques et les diverses situations dans les ambassades de l'archipel.

Une fois le dessert passé, Beren raccompagna son professeur à l'entrée. Ce dernier le salua et Beren lui répondit :

"-Au revoir Monsieur Wiltch et n'hésitez pas à me rendre visite à la fabrique ou ici même, vous serez toujours le bienvenu
-Merci Monsieur Tasartir à bientôt"

Le professeur monta dans sa calèche et cette derniere s'éloigna. C'est alors qu'une pensée lui traversa l'ésprit.

"Oh non la liste je l'ai complètement oublié !!!!!!

Il traversa le hall et passa devant le portrait de la reine Jade quand il s'arreta net.

"Oh non je suis vraiment tête en l'air!!!!! J'ai aussi oublié le rendez vous de la reine !!!! Ahhhhh la catastrophe"

La panique commençait à gagner Beren quand le Major d'homme arriva surpris.

"-Monsieur que vous arrive-t-il ?
-C'est la catastrophe Alvin, j'ai un rendez vous avec la reine et je ne suis pas encore pret. Si ça se trouve elle doit m'attendre et je suis toujours là."

Le Major d'homme semblait surpris mais commenca à crier des ordres à la femme de chambre et à la cuturière.

"-Vite Monsieur montez, on arrive pour vous préparer.
-Merci Alvin"

Beren monta donc les escaliers quatres à quatres et chauffa son bain. La maison qui était si calme était devenue un vrai courrant d'air où tout le monde allait et venait entre la chambre du jeune homme et les autres pièces de la maison.

Après une heure de préparation intensive, le jeune homme sortit de sa chambre habillé comme un prince sortit d'un conte de fée. Sa cape était tissée d'or, son pantallon était taillé à la perfection avec une ceinture ornée de pierres et la partie supérieur était recouverte en soie.

Je prend la liste avec moi et je passerai à la fabrique. Je ne sais pas à quelle heure je vais rentrer. A ce soir

Le jeune homme se dirigea vers l'entrée où la plus belle des calèches avait été attelée. Une fois à bord, la calèche se drigea vers le palais de la reine Jade dont Beren ne savait toujours pas ce qu'elle voulait.