Note de l’auteur : Voilà, c’est le premier chapitre de mon crossover Gunslinger Boy, j’espère qu’il vous plaira
Je ne sais pas encore bien combien de chapitre il comprendra, mais il devrait facilement faire une vingtaine de chapitres
N’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous en pensez ^^
Disclaimer : même si j’ai bossé sur cette histoire, vous vous douté bien que je ne fais qu’emprunter à JK Rowling et à Yu Aïda respectivement leurs personnages et leur univers
Je ne dirais jamais assez l’admiration sans borne que j’ai pour l’une et l’autre, et j’espère donné envie à beaucoup l’envie de lire « Gunslinger Girl » (bon pour les HP, je pense que c’est même pas la peine ^^" )
Rating : PG -13 pour l’instant, qui pourra se transformer en R selon les chapitres
Avertissement : Il y aura, c’est vrai une certaine relation qui s’établira entre Harry et Draco, mais je me refuse à appeler ça un slash, parce que un, même si elles seront sous entendu, jamais je n’écrirais de lemon ( nevernevernever ).
Et puis aussi parce que Harry ne peut pas « aimer » au sens propre du terme. C’est une relation oui, mais pas amoureuse, ou du moins que dans un sens, et pas dans le sens qui nous intéresse là ^^
Le R viendra de scènes violentes, même si là encore c’est sous entendu la plupart du temps (tout est dans le plupart)
Etant donné que l’histoire se passe dans l’univers de Yu Aïda (même si je l’ai transposé en Angleterre) il n’y aura pas de magie
Couple : HP/DM (enfin…)
Genre : c’est un crossover Harry Potter/Gunslinger Girl (perso d’HP et situation géographique, situation des personnages GG)
Résumé : voir « extraits du journal Intime de Sirius Black » dans le prologue
IOoOoOI
POV agent 300-12 B
La première personne que j’ai tuée s’appelait Harry James Potter.
Il faisait beau ce jour là.
Je me souviens, j’ai eu du mal à bien viser sa tête parce que j’avais le soleil dans les yeux...
D’ailleurs, je l’ai raté, enfin, la balle l’a touché, mais pas ou j’aurais voulu.
Résultat, au lieu de mourir sur le coup, il a agonisé pendant une quinzaine de minutes.
Je l’ai regardé mourir...
C’est étrange de voir la vie échapper chaque seconde un peu plus à quelqu’un qui se bat désespérément pour survivre.
Vers la fin il n’avait presque plus de force pour bouger.
Il restait là immobile, à me fixer sans me voir, un mélange de surprise et de peur dans le regard...
Et puis il est mort, sans savoir pourquoi.
Je crois que je ne le sais pas plus que lui.
Ils m’avaient juste ordonné de tuer quelqu’un au hasard, de ne laisser aucun indice et de rentrer à l’agence.
Je n’ai su que plus tard qui était ma victime, quand la police a retrouvé le corps. Il était marié depuis 15 ans et avait 3 enfants. Une fille de 12 ans et deux garçons de 8 ans ; Des jumeaux.
Parfois, quand une mission se termine, je passe dans leur quartier et je les observe un ou deux jours.
Ce n’est pas de la culpabilité.
Je ne suis pas programmé pour ressentir ce genre d’émotions..
Seulement j’aime l’idée d’avoir un lien avec eux.
Cette année Marie rentre à la fac de Londres, Matt et Jason sont au lycée, et leur mère s’est remariée il y a deux ans, avec un certain Daniel Coll, un médecin.
Numéro de l’agent : 300-12 B
Je suis content de n’avoir pas gâché leurs vies.
Section : 12
Ça me laisse rêver que je ne suis pas totalement mauvais.
Responsable : Sirius Black
Après tout ce n’est pas de ma faute si je suis la mort…
Nom de code : Harry James Potter
IOoOoOI
(1) Extraits du Journal intime de Sirius Black
[…] L’organisation pour laquelle nous travaillons depuis quelques années, Remus et moi est un organisme d’aide sociale d’intérêt publique, ayant personnalité juridique.
Officiellement, c’est un bureau d’assistance aux personnes handicapées sous les auspices du premier ministre…
Mais, en réalité, elle rassemble des handicapés de tout le pays et leur procure un corps mécanique.
On leur administre un lavage de cerveau appelé « reconditionnement ».
C’est une agence spéciale de renseignement en charge du sale boulot pour le compte du gouvernement [...]
[…] Harry était un enfant sans avenir. Ses parents avaient périt dans un accident de voiture qui l’avait laissé, lui, laissé paralysé, alors qu’il n’avait qu’un an. Il a passé les 9 premières années de sa vie allongée sur un lit d’hôpital. À son admission à l’organisation il était rachitique, et personne ne lui donnait plus de deux ans à vivre. Nos médecins se sont occupés de lui, et aujourd’hui ne subsiste de son accident qu’une fine cicatrise en forme d’éclair, cachée sous une frange de son épaisse tignasse noir.
Je ne suis arrivé qu’un an après son admission. Il était déjà reconditionné et avait déjà effectué sa première mission en solo. À seulement 11 ans […]
[…] Dans les autres Frattelos, c’est le « grand frère » qui nome son élève. Lui c’était déjà choisit un nom
Harry James Potter
Je ne sais pas pourquoi un nom aussi compliqué, et d’ailleurs, je ne lui ai jamais demandé
Je crois qu’il ne s’en rappelle même pas lui-même. Les reconditionnements à répétitions abîment beaucoup la mémoire des gosses […]
[…] Parfois, il arrive que Harry s’écroule par terre en hurlant et en se tenant le front à deux mains. Les Docs disent que c’est purement psychologique, mais la douleur n’en ai pas moins réelle, elle.
Ça n’arrive jamais quand il est en mission, alors tout le monde ferme les yeux et l’affaire se termine avec une poignée de médicaments…jusqu'à la prochaine crise…
Comme quoi, il y à des souvenir que même le reconditionnement ne peu pas effacer… […]
IOoOoOI
(1) : Pour ceux qui ont le manga, je reprends le premier passage narration du premier tome de Gunsliger Girl pour le premier paragraphe
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